Reprise du programme de la Banque mondiale

BISSAU (Xinhua) - La Banque mondiale va reprendre ses projets en Guinée-Bissau à hauteur de 18 millions de USD pour la promotion des secteurs agricole, éducatif, sanitaire et de la pêche", a indiqué lundi Vera Sangoué, directeur des opération de la BM pour la Guinée-Bissau.


Il a donné cette indication au sortir d'une audience avec le Premier ministre, Rui Duarte de Barros, ce lundi à Bissau.
A la suite du coup d'Etat militaire du 1é avril dernier, la plupart des bailleurs de fonds de la Guinée-Bissau, dont la Banque mondiale, la Banque africaine de Développement et l'Union européenne, ont suspendu leur assistance, plombant ainsi l'économie de ce pays qui fait partie des plus pauvres du monde.
José Biaye, ministre de l'Economie, qui avait pris part à cette rencontre, a affirmé que cette reprise des projets de la Banque mondiale va constituer un ballon d'oxygène pour le pays.



BdS Consulting: Journée des droits de l’homme, 10 décembre

BdS Consulting: Journée des droits de l’homme, 10 décembre: Cette Journée est l’occasion, chaque année, de célébrer les droits de l’homme, de mettre en lumière un problème particulier, et de pl...

APRESENTAÇÃO DO AMBIENTE DE INVESTIMENTO E NEGÓCIOS NA GUINÉ-BISSAU

PRESENTATION DE L'ENVIRONNEMENT
DU COMMERCE ET DES INVESTISSEMENTS EN GUINÉE-BISSAU


PRESENTAZIONE DELL'AMBIENTE
DEL COMMERCIO E DEGLI INVESTIMENTI IN GUINEA BISSAU




Barbara de Siena Présentation opportunités en Guinée Bissau PT

Le président de la Commission de la CEDEAO tire le bilan de sa visite à Bissau | ReliefWeb

Le président de la Commission de la CEDEAO tire le bilan de sa visite à Bissau | ReliefWeb

... Revenant sur la visite qu’il venait d’effectuer à l’hôpital militaire où opèrent les forces de l’ECOMIB, M. Ouédraogo s’est dit très impressionné par ce qu’il y a vu, notamment le dévouement des hommes et l’efficacité des services qu’ils rendent, insistant particulièrement sur les services que cette présence doit rendre à la population de Guinée-Bissau.

«Nous avons pu voir qu’à l’hôpital militaire, (nos hommes) prennent soin non seulement des troupes de l’ECOMIB, mais sont aussi ouverts pour soigner toute la population de Guinée-Bissau qui viendrait vers eux. Ils sont prêts également à aider la Guinée-Bissau pour le renforcement de ses capacités par un transfert des connaissances, et nous allons les appuyer pour qu’ils puissent aller dans ce sens», a promis le président de la Commission.

(source: Reliefweb)

La diversité de la Guinée Bissau dans l'objectif de Nedjma Berder

La diversité de la Guinée Bissau dans l'objectif de Nedjma Berder
La diversità della Guinea Bissau nell'obiettivo di Nedjma Berder
http://www.francetv.fr/culturebox/la-guinee-bissau-chantre-de-la-diversite-par-le-photographe-nedjma-berder-116543

    • Expo de rentrée, Nedjma Berder, photographies

    • du 4 au 29 septembre 2012
    • Nedjma Berder, chef-opérateur et photographe, fait partie de la grande famille des bretons ...

      UPart
      Espaceur
      Galerie d'art et d'objets d'art
      6 rue de la Porte 
      29200 Brest

      La galerie est ouverte 5 jours sur 7, du mardi au samedi.
      Plus si évènements particuliers. Du mardi au vendredi de 13h00 à 18h30
      Le samedi de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 18h00

      Téléphone : 02 98 05 95 52 contact@up-art.fr


ISF CONSULTING organise, à Dakar du 11 au 13 octobre 2012, la deuxième édition du Salon International des Energies Renouvelables et du Bâtiment - Médiaterre Afrique de l'Ouest

ISF CONSULTING organise, à Dakar du 11 au 13 octobre 2012, la deuxième édition du Salon International des Energies Renouvelables et du Bâtiment - Médiaterre Afrique de l'Ouest


Dans le cadre de la promotion des énergies renouvelables, meilleure alternative pour le développement des nouvelles énergies, ISF CONSULTING organise la deuxième édition du Salon International des Energies Renouvelables et du Bâtiment. Cet événement majeur s'inscrit dans les nouvelles dynamiques et préoccupations mondiales sur les effets de la raréfaction prochaine des énergies fossiles.
Le salon International des Energies Renouvelables et du Bâtiment sera organisé les 11, 12 et 13 Octobre 2012.
Cette deuxiéme édition est déterminée à se positionner comme la vitrine Africaine de découvertes des nouveautés, innovations, tendances du bâtiment et efficacité énergétique mais aussi de générateurs d'affaires et de rencontres des structures étatiques toutes engagées dans l'ambitieuse politique de l'énergie du gouvernement sénégalais, les organismes internationaux de développement socio-économique, des ressources humaines de qualité, les grandes entreprises, les multinationales etc.
Source RIAED

OHADA - Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des affaires


L'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) a été créée par le Traité relatif à l'Harmonisation du Droit des Affaires en Afrique signé le 17 octobre 1993 à Port-Louis et révisé à Québec au Canada, le 17 Octobre 2008.
Le Traité est ouvert à l'adhésion de tout Etat membre de l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA) ainsi qu'à l'adhésion de tout autre Etat non membre de l'OUA invité à y adhérer du commun accord de tous les Etats parties. Le domaine géographique dépasse donc les frontières de la zone franc.
A ce jour, seize Etats sont membres de l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires : le Bénin, le Burkina-Faso, le Cameroun, la Centrafrique, la Côte d'Ivoire, le Congo, les Comores, le Gabon, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Guinée-Equatoriale, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Tchad et le Togo. Ce Traité a pour principal objectif de remédier à l'insécurité juridique et judiciaire existant dans les Etats Parties.
L'insécurité juridique s'explique notamment par la vétusté des textes juridiques en vigueur : la plupart d'entre eux datent en effet de l'époque de la colonisation et ne correspondent manifestement plus à la situation économique et aux rapports internationaux actuels. Très peu de réformes ont été entreprises jusqu'alors, chaque Etat légiférant sans tenir compte de la législation des Etats de la zone franc. A cela s'ajoute l'énorme difficulté pour les justiciables comme pour les professionnels de connaître les textes juridiques applicables.
L'insécurité judiciaire découle de la dégradation de la façon dont est rendue la justice, tant en droit qu'en matière de déontologie, notamment en raison d'un manque de moyens matériels, d'une formation insuffisante des magistrats et des auxiliaires de justice. Dans les États de la zone franc, les opérateurs économiques avaient coutume de dénoncer une situation qui leur était préjudiciable et qui était caractérisée par :
  • la coexistence de textes contradictoires;
  • la lenteur des procédures;
  • l'imprévisibilité des tribunaux;
  • la corruption des systèmes judiciaires;
  • les difficultés d'exécution des décisions.
Et il est indéniable que la balkanisation juridique et l'insécurité judiciaire constituaient une entrave réelle au développement économique. L'harmonisation du droit économique et l'amélioration du fonctionnement des systèmes judiciaires dans nos pays étaient donc considérés comme nécessaires pour restaurer la confiance des investisseurs, faciliter les échanges entre les pays et développer un secteur privé performant, condition sine qua non de la réussite des programmes de privatisation.
La mondialisation de l'économie exige l'harmonisation des droits et des pratiques du droit. Cette exigence constitue pour des pays en développement comme les nôtres une priorité pour créer les conditions favorables à l'instauration d'un espace de sécurité juridique et judiciaire indispensable pour drainer des flux importants d'investissements, car investir est déjà en soi un risque, même s'il est calculé; s'il faut doubler ce risque premier inéluctable de celui d'un système juridique fluctuant, ondoyant et insaisissable, il n'y a pas beaucoup de chance de susciter l'attrait des investisseurs.


... Le système juridique et judiciaire de l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) est l'une des expériences d'intégration juridique les plus réussies de la fin du 20ème siècle. Créée par le Traité de Port-Louis du 17 octobre 1993 (révisé le 17 octobre 2008 à Québec - Canada), l'OHADA est une organisation internationale de plein exercice, dotée d'une personnalité juridique internationale, qui poursuit uneœuvre d'intégration juridique entre les pays qui en sont membres. L'adhésion, prévue par l'article 53 du Traité, est ouverte à tout État membre de l'Union africaine non signataire et à tout État non-membre de l'Union africaine et invité à y adhérer d'un commun accord de tous les États parties. L'OHADA regroupe aujourd'hui 17 États (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Comores, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée Bissau, Guinée, Guinée Equatoriale, Mali, Niger, République Centrafricaine, République démocratique du Congo, Sénégal, Tchad, Togo). Les langues de travail sont le français, l'anglais, l'espagnol et le portugais.


Son objectif est la facilitation des échanges et des investissements, la garantie de la sécurité juridique et judiciaire des activités des entreprises. Le droit de l'OHADA est ainsi utilisé pour propulser le développement économique et créer un vaste marché intégré afin de faire de l'Afrique un « pôle de développement ».


Pour réaliser ces objectifs, l'OHADA s'est dotée d'un système institutionnel structuré autour des organes que sont la Conférence des Chefs d'État et de Gouvernement, le Conseil des ministres (organes politiques) et le Secrétariat permanent qui est l'organe exécutif chargé d'assister le Conseil des ministres et de coordonner la préparation et le suivi de la procédure relative à l'adoption des Actes uniformes. Pour des raisons d'efficacité, deux autres organes spécialisés complètent le système institutionnel. Il s'agit de la Cour commune de Justice et d'Arbitrage de l'OHADA (CCJA) et de l'École Régionale Supérieure de la Magistrature (ERSUMA). La CCJA de l'OHADA est l'unique expérience réussie de transfert de souveraineté judiciaire dans le monde. Elle est compétente pour connaître, en cassation, des pourvois contre les décisions rendues en dernier ressort en application des Actes uniformes de l'OHADA par les juridictions nationales des États parties. En cas de cassation, elle a le pouvoir d'évoquer afin de vider le contentieux sans aucun renvoi à une juridiction nationale. L'ERSUMA a vocation à former les professionnels de l'OHADA et à perfectionner leurs compétences. Elle est également un centre de recherche en droit des affaires.


L'OHADA compte à son actif neuf Actes uniformes déjà entrés en vigueur dans les États parties. D'autres Actes uniformes sont encore en préparation.

La Guinée Bissau et l'ONU - Organisation internationale des Nations Unies


L'Organisation internationale des Nations Unies a été fondée en 1945, après la Seconde Guerre mondiale, par 51 pays déterminés à maintenir la paix et la sécurité internationales, à développer des relations amicales entre les nations, à promouvoir le progrès social, à instaurer de meilleures conditions de vie et à accroître le respect des droits de l'homme.

Les Nations Unies ont quatre buts principaux :

- Maintenir la paix dans le monde;
- Développer des relations amicales entre les nations;
- Aider les nations à travailler ensemble pour aider les pauvres à améliorer leur sort, pour vaincre la faim, la maladie et l’analphabétisme et pour encourager chacun à respecter les droits et les libertés d’autrui;
- Coordonner l’action des nations pour les aider à atteindre ces buts.


De par son statut unique à l'échelon international et les pouvoirs que lui confère sa Charte fondatrice, l'Organisation peut prendre des mesures pour résoudre un grand nombre de problèmes. En outre, elle constitue un forum où ses 193 États Membres expriment leur opinion par l'intermédiaire de l'Assemblée générale, du Conseil de sécurité, du Conseil économique et social, des autres organes et comités.
L'activité des Nations Unies couvre toutes les parties du globe. Si les opérations de maintien et de consolidation de la paix, de prévention des conflits et d'assistance humanitaire sont bien connues, l'influence des Nations Unies et de son système (institutions spécialisées, fonds et programmes) se manifeste également de multiples façons dans notre quotidien et contribue à créer un monde meilleur.
L'Organisation se consacre à un grand nombre de questions fondamentales, comme le développement durable, la protection de l'environnement et des réfugiés, les secours en cas de catastrophe, la lutte contre le terrorisme, le désarmement et la non-prolifération, la promotion de la démocratie, les droits de l'homme, l'égalité des sexes et la promotion de la femme, la gouvernance, le développement économique et social, la santé publique, le déminage et l'augmentation de la production alimentaire et bien plus encore.
Ce faisant, elle s'attache à atteindre les objectifs fixés et à coordonner les efforts afin de créer un monde plus sûr pour les générations présentes et futures.

L'ONU et la Guinée Bissau : country profile Guinée Bissau

SEMICA du 23 au 25 Mai 2013 - Ouagadougou (Burkina Faso)

La deuxième édition du Salon international de l’énergie, des mines et des carrières (SEMICA) ouvrira ses portes le 23 au 25 Mai 2013 sur le site du SIAO. 

Pendant quatre jours, les professionnels du secteur vont présenter l’activité minière au public. Des expositions, conférences et table-rondes sont prévues en marge du salon.

Si près de la Foudre… – Metro

Holder Da Silva (Guinée Bissau) le sprinteur de Guinée-Bissau au couloir 2 (100m) avec ce dossard 1882 agrafé sur son maillot blanc, le Jamaïquain Usain Bolt au couloir 6

Bravo!

Si près de la Foudre… – Metro

4 athlète à Londres pour les Jeux Olympiques

Londres - Jeux Olympiques 27 juil. - 12 août




4 athlètes de la Guinée Bissau vont participer aux Jeux Olympiques de Londres 2012:


- Graciela MARTINS - Athlétisme Femmes 400m

- Jacira Francisco MENDONCA - Lutte Femmes 63kg Libre

Holder da SILVA - Athlétisme Hommes 100m

Augusto MIDANA - Lutte Hommes 74kg Libre

La BOAD octroie un prêt de 35 milliards de FCFA à la Guinée-Bissau

BISSAU (Xinhua) - La Banque ouest-africaine de développement (BOAD) a octroyé à la Guinée-Bissau un prêt d'un montant de 35 milliards de FCFA pour le financement de projets dans les secteurs de l'énergie, des infrastructures, de la riziculture et de la sécurité alimentaire, rapporte la presse locale.



Abubacar Demba Dahaba, ministre bissau-guinéen des Finances, a précisé que "13,7 milliards de FCFA seront consacrés au secteur énergétique afin de produire 15 MW d'électricité pour la ville de Bissau, 10 milliards sont destinés au secteur rizicole, 8 milliards  pour la réhabilitation du port de Bissau et 3,7 milliards de FCFA pour la sécurité alimentaire".
Le ministre a par ailleurs affirmé que la BOAD s'est également montrée disponible à débourser 50 milliards de FCFA pour la reconstruction des infrastructures détruites durant la guerre civile de 1998.
Armand Gala Kouamé, représentant de la BOAD, a affirmé à cette occasion que la BOAD ne va pas lésiner sur les moyens pour d'octroyer 100 millions de USD supplémentaires à Bissau afin d'assurer la sécurité alimentaire aux populations locales.

NEPAD: le Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique


Bienvenue au portail du NEPAD. Le Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique (NEPAD) est un programme de l'Union Africaine adopté à Lusaka en  Zambie, en 2001.
Le NEPAD est, fondamentalement, une nouvelle intervention conduite par les leaders africains pour mener à bien de nouvelles approches et priorités  pour la transformation politique et socio-économique de l’Afrique.  
Le NEPAD est un engagement des dirigeants africains fondé sur une vision commune  et une conviction partagée. Ses objectifs essentiels consistent à placer les pays africains individuellement et collectivement sur la voie du développement et de la croissance durables; et de participer activement à l’économie mondiale. Le NEPAD  offre une unique occasion aux pays africains, aux communautés économiques régionales et aux acteurs  de prendre le contrôle de leur programme de développement, de travailler plus étroitement ensemble et de coopérer avec plus d'efficacité avec les partenaires mondiaux.....

"Investir dans les soins de santé est la clé de la croissance inclusive et durable en Afrique», souligne la Conférence ministérielle africaine à Tunis - Banque africaine de développement

La conférence organisée par les Dispositifs d'harmonisation pour la santé en Afrique (Harmonization for Health in Africa mechanism, HHA), en collaboration avec l'Union africaine et la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique mettra l'accent sur l’impérieuse nécessité de tirer le meilleur parti des ressources disponibles pour accélérer les progrès vers les Objectifs du millénaire pour le développement relatifs à la santé ... (lire tout l'article)


"Investir dans les soins de santé est la clé de la croissance inclusive et durable en Afrique», souligne la Conférence ministérielle africaine à Tunis - Banque africaine de développement

Interview de S.E.M. Faustino Fudut IMBALI, Ministre des Affaires étrangères de la Guinée-Bissau

S.E.M. Faustino Fudut IMBALI, Ministre des Affaires étrangères de la Guinée-Bissau parle de la diplomatie post-coup d'état à Datcha RIBEIRO.

S.E.M.  Faustino Fudut IMBALI, Ministro degli Esteri della Guinea-Bissau parla della diplomazia post-colpo di stato a Datcha Ribeiro.


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Interview du Premier Ministre de Guiné Bissau Rui Duarte de Barros


S.E.M. Rui DUARTE de BARROS,  Primo Ministro del Governo tecnico di transizione 
della Guinea Bissau intervistato Datcha RIBEIRO di VoxAfrica

S.E.M. Rui DUARTE de BARROS,  Premier Ministre du Gouvernement technique de transition de la Guinée Bissau interviewé par Datcha RIBEIRO sur VoxAfrica

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La Guinée-Bissau et l'OMC


Renseignements concernant la participation de Guinée-Bissau aux activités de l'OMC. La Guinée-Bissau est Membre de l'OMC depuis le 31 mai 1995.

Guinée Bissau Investment Destination


Communiqué de presse

Guinée Bissau Investment Destination

Rompre avec les stéréotypes sur ce magnifique pays d’Afrique de l’Ouest devient très vite une réalité dès que vous atterrissez sur la piste de l’aéroport international Osvaldo Vieira, à Bissau.

Souvent présentée comme un pays pauvre et instable, vous découvrirait que la Guinée Bissau est un véritable trésor de la nature, la Venise de l’Afrique : bercée par les nombreux fleuves qui la parcourent, à certaines périodes de l’année un tiers du pays se trouve sous l’eau.

L’archipel des Bijagos, un vrai joyau, dont les 80 îles sont comme des perles flottant sur un océan de cristal. L’exposition de 2005 au siège de l’Unesco à Paris (http://www.aquarium-portedoree.fr/homes/home_carte_postales.htm) a permis de mettre en lumière la formidable contribution de ces îles dans la formation d’une grande partie de la biodiversité de l’Atlantique Nord.

Cette Guinée Bissau meconnue, malgré les soubresauts découlant de la crise de 98\99 s’est résolument tournée vers la modernisation de l’Etat, la restauration des infrastructures et la restructuration de son économie, dans le sillage d’un plan de réforme des secteur de la défense et de la sécurité.

La communauté internationale au chevet de ce charmant pays qui a connu une histoire héroïque et tumultueuse, lui accorde une attention particulière et un soutien tant financier, qu’institutionnel et organisationnel afin de favoriser la mise en œuvre d’un cadre attractif pour les investissements et les opérateurs étrangers.

Le Pays d’Amilcar Cabral represente un marché en pleine expansion qui s’offre aux entreprises intéressées au dévelopement à l’international notamment dans les secteurs de :
La pêche
Les télécom et TIC
Les infrastructures et BTP
L’énergie
L`agriculture
La santé
Les biens de consommation courante
Le tourisme

Le Pays est aussi un des membres de l’UEMOA, Union Economique et Monétaire Ouest Africaine :

- Une union économique de 8 pays d’Afrique Occidentale : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée Bissau, Mali, Togo, Niger, Sénégal, qui partagent la même monnaie ;
- Un marché de 70 millions de consommateurs basé sur la libre circulation des personnes et des biens ;
- Un marché qui repose sur une politique commerciale commune avec un tarif extérieur commun (TEC) ;

La Guinée Bissau est aussi membre de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), porte d’entrée d’un marché de 200 millions de consommateurs (15 Etats membres). Créée en 1975, la CEDEAO a pour mission de promouvoir l’intégration économique dans tous les domaines de l’activité économique.

Son littoral, très riche en poissons, attire les pécheurs de l’Union Européenne qui viennent pêcher chaque année 500 mille tonnes de poisson.
Un sol et un sous-sol extrêmement riche caractérise par d`importantes réserves de bauxite, bois, pétrole, phosphates, or, diamants, dans une nature luxuriante.

A Bissau, capitale de cet état, vous côtoierez une population joyeuse et accueillante et plus que jamais vous vous sentirez en sécurité.

Telle est la destination qui vous tend les bras, et dont nous vous proposons de decouvrir les perspectives et opportunites.


Informations :

BdS Consulting + ETN
Barbara de Siena
+ 33 (0)6 24 08 74 67

Les avantages d'un investissement en Guinée Bissau

Découvrez les avantages d'investir en Guinée Bissau :


La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) est une organisation intergouvernementale créée le 28 mai 1975. Elle est la principale structure destinée à coordonner les actions des pays de l’Afrique de l'Ouest. 

Son but principal est de promouvoir la coopération et l'intégration avec pour objectif de créer une union économique et monétaire ouest-africaine. La CEDEAO compte aujourd'hui 15 États membres. 

Selon le FMI, le PIB PPA global des États membres de la Cédéao s'élève à 564,86 milliards de dollars US ce qui en fait la 25e puissance économique du Monde.


Bénin
Burkina Faso
Cape Vert
Côte d’Ivoire
Gambie
Ghana
Guinée
Guinée Bissau
Libéria
Mali
Niger
Nigeria
Sénégal
Sierra Leone
Togo


L'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) est une organisation ouest-africaine qui a comme mission la réalisation de l'intégration économique des États membres avec une monnaie unique le Franc CFA, à travers le renforcement de la compétitivité des activités économiques dans le cadre d'un marché ouvert et concurrentiel et d'un environnement juridique rationalisé et harmonisé.


Bénin
Burkina Faso
Côte d’Ivoire
Guinée Bissau
Mali
Niger
Sénégal
Togo
Les Objectifs de l'UEMOA
✓ Renforcer la compétitivité des activités économiques et financières des États membres dans le cadre d’un marché ouvert et concurrentiel et d’un environnement juridique rationalisé et harmonisé.
Assurer la convergence des performances et des politiques économiques des États membres par l’institution d’une procédure de surveillance multilatérale.
✓ Créer entre Etats membres un marché commun basé sur la libre circulation des personnes, des biens, des services, des capitaux et le droit d’établissement des personnes exerçant une activité indépendante ou salariée, ainsi que sur un tarif extérieur commun et une politique commerciale.
 Instituer une coordination des politiques sectorielles nationales par la mise en œuvre d’actions communes, et éventuellement, de politiques communes notamment dans les domaines suivants : ressources humaines, aménagement du territoire, agriculture, énergie, industrie, mines, transports, infrastructures et télécommunication.
✓ Harmoniser, dans la mesure nécessaire au bon fonctionnement du marché commun, les législations des États membres et particulièrement le régime de la fiscalité.


La BAD appuie l’accès des PME africaines au financement après le lancement officiel du Fonds africain de garantie

The African Development Bank Group (AfDB) President, Donald Kaberuka, announced today, at the AfDB Annual General Meetings, the official launch of the African Guarantee Fund (AGF), a market-friendly guarantee scheme designed to ease access to finance for African Small and Medium Enterprises (SMEs). The AGF, designed and funded by the AfDB in partnership with the governments of Denmark and Spain, will provide financial guarantees to financial institutions to stimulate financing to SMEs and unlock their potential to deliver inclusive growth in the region. The AGF is a truly public-private partnership, with other donors, development finance institutions and private investors expected to join to provide additional capital and scale up its operations.

IFC - La Société financière internationale soutien l'Afrique sub-saharienne


À propos de l'IFC


L'IFC (La Société financière internationale) est l’institution du Groupe de la Banque mondiale chargée des opérations avec le secteur privé. 



Mission


L'IFC a pour mission de promouvoir des investissements privés durables qui réduiront la pauvreté et amélioreront les conditions de vie des populations.


L'IFC, qui fait partie du Groupe de la Banque mondialeinvestit et fournit des services de conseil dans le monde entier pour promouvoir, dans ses pays membres en développement, des projets durables qui sont profitables sur le plan économique, solides sur les plans financier et commercial et viables sur les plans environnemental et social. 



Les activités de l'IFC


L'IFC facilite le développement durable du secteur privé dans les pays en développement. Elle s’efforce en particulier de promouvoir le développement économique dans ses pays membres en favorisant l’essor d’entreprises privées productives et l’épanouissement de marchés financiers efficaces.

Les investissements de l'IFC dans les entreprises des marchés émergents et dans les institutions financières permettent de créer des emplois, de renforcer les économies et de générer des revenus fiscaux. L'IFC reconnaît aussi que la croissance économique ne peut être durable que si elle viable sur le plan environnemental et social, et contribue à améliorer la qualité de vie des populations dans le monde en développement. 


L'IFC investit dans des entreprises dont le capital est détenu en majorité par des intérêts privés dans la plupart des pays en développement. Lesrégions en développement :
  • Afrique subsaharienne  
  • Asie de l’Est et Pacifique
  • Asie du Sud
  • Europe et Asie centrale
  • Amérique latine et Caraïbes
  • Moyen-Orient et Afrique du Nord 

Ohada: l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des affaires


Le système juridique et judiciaire de l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) est l'une des expériences d'intégration juridique les plus réussies de la fin du 20ème siècle. Créée par le Traité de Port-Louis du 17 octobre 1993 (révisé le 17 octobre 2008 à Québec - Canada), l'OHADA est une organisation internationale de plein exercice, dotée d'une personnalité juridique internationale, qui poursuit une œuvre d'intégration juridique entre les pays qui en sont membres. L'adhésion, prévue par l'article 53 du Traité, est ouverte à tout État membre de l'Union africaine non signataire et à tout État non-membre de l'Union africaine et invité à y adhérer d'un commun accord de tous les États parties. L'OHADA regroupe aujourd'hui 16 États plus la République Démocratique du Congo dont la finalisation de l'adhésion est encore en cours. Les langues de travail sont le français, l'anglais, l'espagnol et le portugais.
Son objectif est la facilitation des échanges et des investissements, la garantie de la sécurité juridique et judiciaire des activités des entreprises. Le droit de l'OHADA est ainsi utilisé pour propulser le développement économique et créer un vaste marché intégré afin de faire de l'Afrique un « pôle de développement ».
Pour réaliser ces objectifs, l'OHADA s'est dotée d'un système institutionnel structuré autour des organes que sont la Conférence des Chefs d'État et de Gouvernement, le Conseil des ministres (organes politiques) et le Secrétariat permanent qui est l'organe exécutif chargé d'assister le Conseil des ministres et de coordonner la préparation et le suivi de la procédure relative à l'adoption des Actes uniformes. Pour des raisons d'efficacité, deux autres organes spécialisés complètent le système institutionnel. Il s'agit de la Cour commune de Justice et d'Arbitrage de l'OHADA (CCJA) et de l'École Régionale Supérieure de la Magistrature (ERSUMA). La CCJA de l'OHADA est l'unique expérience réussie de transfert de souveraineté judiciaire dans le monde. Elle est compétente pour connaître, en cassation, des pourvois contre les décisions rendues en dernier ressort en application des Actes uniformes de l'OHADA par les juridictions nationales des États parties. En cas de cassation, elle a le pouvoir d'évoquer afin de vider le contentieux sans aucun renvoi à une juridiction nationale. L'ERSUMA a vocation à former les professionnels de l'OHADA et à perfectionner leurs compétences. Elle est également un centre de recherche en droit des affaires.
L'OHADA compte à son actif neuf Actes uniformes déjà entrés en vigueur dans les États parties. D'autres Actes uniformes sont encore en préparation.

Les Afriques | Guinée : 20 millions d’euros pour un méga projet hôtelier à Conakry | le journal de la finance Africaine

Les Afriques | Guinée : 20 millions d’euros pour un méga projet hôtelier à Conakry | le journal de la finance Africaine

Un important investissement touristique haut de gamme estimé à quelque 20 millions d’euros et prévu au cœur de la capitale guinéenne vient d’être bouclé. Les fonds ont été mobilisés par un consortium guinéo-maroco-singapourien décidé à combler le déficit criard d’infrastructures hôtelières en Guinée.

Le consortium Global Investment And Construction (GIC) mène l’offensive en Guinée. Une première sortie dans l’industrie touristique au Sud du Sahara. Fruit d’une joint-venture entre la société Sonoco SA de l’opérateur guinéen, El Hadj Diallo Mamadou Saliou Kégnéko, le géant du blé, Les Moulins Lahlal du Maroc représenté par son patron Omar Yacoubi et  un groupe privé singapourien, le consortium a décidé d’investir en leasing quelque 20 millions d’Euros (soit la bagatelle de 13 milliards Fcfa).

Selon une source proche du consortium, contactée par Les Afriques, la pose de la première pierre est prévue le 1er février 2012 -sur le site de l’ex hôtel du Niger de Conakry en décombres -sous la présidence effective du chef de l’Etat, Alpha Condé, du ministre du Tourisme, des autorités et opérateurs du secteur privé. Le Marocain, Omar Yacoubi et l’associé singapourien sont attendus à Conakry.

Le futur complexe hôtelier (4 étoiles et 194 chambres) dont l’enseigne fait en ce moment l’objet de convoitises par les grandes marques comme Sheraton, Radisson, Accor devra être livré conformément au cahier d’exécution en  mai 2013 ....

La BAD soutient son partenaire la Banque ouest-africaine de développement : assistance financière de 64 millions d’euros - Banque africaine de développement

La BAD soutient son partenaire la Banque ouest-africaine de développement : assistance financière de 64 millions d’euros - Banque africaine de développement


La Banque africaine de développement (BAD) et la  Banque ouest-africaine de développement (BOAD)  signent un accord de prêt pour une ligne de crédit de 64 millions d’Euros ainsi qu’une participation de 3,05 millions d’euros au processus d’augmentation de son capital. Cette facilité vise à  renforcer les capacités financières de la BOAD et à asseoir  son rôle de partenaire stratégique de la BAD dans le financement du secteur privé, moteur de la croissance en Afrique de l’Ouest.
La BAD est un partenaire historique de la BOAD dont il participe au capital depuis 1987. Cette nouvelle facilité succède à celle de janvier 2008 qui comportait une ligne de crédit de 40 millions d’euros d’une maturité de 10 ans, une prise de participation de 3,048 millions d’euros ainsi qu’une subvention d’assistance technique de 953.000 de dollars EU.
Dans sa déclaration lors de la cérémonie, Tim Turner, directeur des opérations du secteur privé de la BAD, a souligné l’importance de l’assistance financière de la BAD à la BOAD et a déclaré que « l’octroi de cette nouvelle facilité est motivé par le développement rapide des activités de la BOAD dans le secteur privé, qui nécessite de mobiliser des ressources additionnelles pour faire face à une demande croissante d’investissement, émanant des acteurs économiques de sa zone d’intervention. »
Christian Adovelandé, président de la BOAD, a remercié la BAD pour ce concours et a ajouté  « qu’il vient renforcer la coopération exemplaire entre les deux institutions dans les domaines techniques, opérationnels et financiers. »
Cette opération va  permettre  à la BOAD de disposer de ressources supplémentaires à moyen et long terme pour financer sa stratégie de développement des investissements du secteur privé dont les principales cibles sont (i) les secteurs à fortes potentialités en matière de création d’emplois (mines, agriculture, industrie, et services), (ii) l’augmentation de la valeur ajoutée de la production régionale et (iii) le développement des exportations.
Ce soutien de la BAD est donc en adéquation avec (i) la stratégie de réduction de la pauvreté de la Banque qui promeut l’intégration économique régionale, (ii) la stratégie d’assistance de la BAD au profit des institutions sous-régionales de financement du développement, et (iii) la volonté de développer des partenariats avec les institutions financières de développement s aux priorités stratégiques semblables à celles de la Banque.